Rue de Planche a Laver
Le Temps Dis-t-il (Washboard Road)
Le matin assommé sur cette voie tortueux
Serpentant et tournant entre les ombres.
Les rayons recueillent le noir
Enlèvent le désordre noir et froid.
La brume de plaisir
Erre d’où je dois viens.
Car mon heure et endroit ne sera mit
Quand je raconte à ici,
Il vienne mon surpris.
D’où j’irais
Je se guiderai.
Sur la voie éternelle.
Je dessin les coffins si ondules et si bruts
Les signes des divagations
Si sentimentale
Mais ils me traînent derrières.
Donc je pense que je n’attristai pas
Si je vois le demain.
Ces fois s’entrecroisent
Et tout est lié
Je dirige d’où je suis mené.
Quel passe je bientôt verrai.
Comme les montagnes sur d’où je marche.
Le tourment ça ne rien
Duquel eut pensé être.
Faire un tonneau dans Washboard Road.
Je m’émerveille duquel devenir
Mon aiguillon.
Ce qui je cherche
Avait oublie
Cela qui je cherche été avait volé.
Mais, il est tressé quand je dépasse
Un Escalade vert dans l’herbe.
J’explore la vie d’exploratrice qu’eut été change les noire a lumière.
Des montagnes fortes,
Des forets légers,
Et les prairies
Qui peigne le ciel
Faisant l’ascension
Aux plusieurs rangées.
Ces choses je sa montrai
Parce que je dis à l’heure: vous vous racontez
Quand vous m’appuya contre.