Chapter 1
Fitia venait de se réveiller brutalement tout en découvrant son état physique. bayonnée par des hommes vêtus en costard. Elle ne comprenait ni d'Adam ni d'Eve. Que faisait-elle là ? Où diable avait-elle été amenée. Le yacht sur lequel, elle fut retenue captive sans son consentement venait d'accoster sur une terre inconnue dont-elle distinguait a peine les alentours suite au liquide qui lui avait été injecté sans son approbation. La chair de poule avait eu raison d'elle à cet instant. Son destin était entre les mains des inconnus. Quelle fin pitoyable ! se dit-elle.
Peut-être, j'ai été négligente quelque part? peut-être je n'ai pas réussi à distinguer le bien du mal? Que me réserve cette mélancolie insupportable et déserte? J'aimerai bien en savoir? Devrais- je supplier pour avoir la vie sauve? Il n'en n'est pas question ? Une vague de questions stimulaient ses pensées.
Le yacht avait finalement accosté, ces hommes vêtus de noirs, sortirent puis à l'espace de deux heures et revinrent et trimballèrent Fitia tel une bête à l'abattoir.
ils la jetèrent sur un lit rebondissant. Fitia était tétanisée, tout à coup, un violent bruit fit son entrée. il s'agissait d'un homme , grand de taille, cheveux châtain, regard meurtrier, lèvres sévères, qui était-il? De geste insolent , elle se reculait comme si son instinct lui avait signalé le danger qui l'attendait.
-Qui êtes-vous ? s'interrogeait-elle. et d'abord que me voulez vous?
l'homme au regard meurtriér, d'un geste malsain laissa apparaître un sourire ironique.
- Je suis ton pire cauchemar ! tes jours dans cette demeure seront l'enfer sur terre. Je te ferai vivre la mort au point où tu ne ... Cette demeure sera ta tombe. Me suis- je bien fait comprendre. agençait-il mécontent.
Armée d'un courage sacré, elle défia son regard. " je n'ai pas peur de vous!" et d'ailleurs pourquoi devrais- je le faire ? Vous n'êtes pas une divinité encore moins un Dieu! Cela vous arrive-il souvent de kidnapper des inconnus et de les forcer à vous suivre? Je vous ordonne de me relâcher. suivit - Fitia.
elle enchaînait questions sur questions qui rendaient son hôte impartial et agressif.
La saisissant sur le bras avec une violence conflictuelle et brutale. Le regard qui baladait sur elle, pouvait détruire.
- Je suis Dieu! et vous osez me contredire, je n'ai aucune sympathie pour les femmes de votre espèce...Soit vous , vous alignez selon mes ordres, soit c'est l'enfer. ( un rire machiavélique apparut sur son visage glaçant le sang de Fitia.)
- Vous ne me laissez pas le choix! De toute les manières vous m'imposer vos décisions. je ne suis pas un Pantin! s'affirmant-elle
- Croyez le ou pas! Ici vous en êtes une . Je fonctionne ainsi, et nul personne ne me contredit. Ceci c'est un ordre.
- Pourquoi moi? Quelle erreur ai-je commise à votre égard? Pour mériter tant de haine, de sarcasme, de véhémence . Je ne vous connais même pas et en une fraction de secondaire vous nourrissez de tels sentiments à mon égard. Pourquoi ? j'exige des réponses. tout en larme.
Se rapprochant dangereusement d'elle, de trait monstrueux et agressif, il lui saississa l'avant-bras. et là, Fitia se tordait de douloureux, en lui suppliant de cesser ce martyre . il semblerai pour Eldom que ce jeu, lui chérirai les papilles.
Et ! tout souriant, il lui dit.
- Vos cris, vos larmes, vos gémissements me procurent un bonheur inestimable! Le saviez- vous? Je pose des questions et vous hoche juste la tête.
il secoua sa tête sans ressentir, le moindre remord, ni compassion pour ses larmes qui jaillissaient.
- Pleurez!Pleurez! Ma plus belle récompense c'est de vous faire endure les souffrances les plus diaboliques. Souriez c'est - la vôtre vie dorénavant. Quel gâchis!
Malgré cela, elle ne pouvais rester ainsi, pourquoi diable nourrissait-il de tels sentiments à son égard?
- Pourquoi? Qu'ai-je pu bien vous faire ? Ou est-ce que je vous ai offensé ? Nous ne nous connaissons pas.. Admettons que vous sachez qui je suis ? Mais moi, je ne .... Écoutez, je suis maman d'une petite fille de 7ans et d'un petit garçon de 10 ans. je veux juste être avec mes enfants. Suppliant-elle
il perdit son regard dans l'iris de ses yeux. mais, elle détourna le sien de lui . Tout en continuant de se lamenter.
- Je veux juste revoir mes enfants ? Je vous en supplie !
il la lança sur le lit et sortit comme un ouragan. Elle resta là, toute en pleure se servant d'un oreillet pour camoufler le son de ses cries.
Tout furieux, il pénétra dans son bureau, colérique. Sa rage repris le déçu et se retourna auprès de sa prisonnière. s'en son consentement, il pénétra son intimité.
Bam! Bam!
sursauta- t- elle en l'aperçevant
- Cessez vos larmes de crocodiles. Ne feignez pas ! Où avez vous appris à jouer ? Vous incarnez la honte virtuelle de la femme.
Elle ne comprenait pas, n'arrivait surtout pas à cerner ce qu'il était entrain de dire.
- Franchement ! ( en hochant la tête) Je ne sais pas. Je suis dépassée , je ne me retrouve pas dans ces injures.
Assise sur son lit en pleure en tolérant les médisances de Eldom, ses mains soutenant sa tête. elle se confia à lui sans s'en rendre compte.
- Qu'attendez vous de moi au juste
? j'ai deux enfants avec celui que j'aime. Parfois je m'interroge sur ses sentiments envers nous. Maman et moi vivons séparément. Je suis tombée enceinte de Keil et Mei . mes adorables et délicieux bambins. Puis , un soir je découvre que j'ai un sosie de couleur blanche, au point où ma meilleure amie m'avait pris pour elle. Si Natha ignorait mon teint, elle aurait cru, que nous étions sœur. Ma foi, cette jeune femme paraît plus attirante, captivante , magnifique au point où, même Wi m'a délaissé pour s'unir avec elle. La seule chose qui me procure du bonheur et de la force, ce sont mes petits anges: Au fond, je pense, que je sois toujours amoureuse de Wi. Malgré son infidélité, je sais que je ne pourrai- aimer un autre que lui.
Un silence de sang se fit dans la pièce, A ces mots, Eldom devint incontrôlable. Brutal, enragé et agressif. il, l'apprit par force. elle eu beau se débattre.
il lui ordonna d'ouvrir sa langue, la pénétra brutalement au point où, elle manquait de souffle, il pinça ses tétons après avoir déchiré la robe Marine qu'elle avait porté. il glissa sa main jusqu'à son sexe. elle poussa de cris d'endurance et de frayeur. Eldom n'était plus lui-même, comme possédé. il mordit ses lèvres ensuite ses tétons en marquant son territoire sur elle.
Tout dépourvu d'humanité, il disa
- Aucun homme n'aura mon object.
Eldom n'était pas doux, Fitia hurlait de douleur, il s'en moquait, il éprouvait un plaisir jovial en la voyant se tordre devant lui.
-ah! ah! Je vous en pris! Vous me faites mal! Soyez doux. S'esquieçait- elle
s'était comme si, ses supplications entraient et ressortaient dans les oreilles d'un sourd. Il s'en fichait complément de ses plaintes à deux balles. Eldom aimait ça. s'était une passion chez lui de faire vivre le martyre à toutes ses conquêtes. Mais, le cas de Fitia était spécial. Elle était son esclave et la haine qu'il nourrissait pour elle était plus grande que, ses cris.
Peu importe le nombre de fois, qu'elle aura à se débattre, Eldom prenait le déçu sur tous les plans. Elle grinçait les dents et lui, il en prenait du plaisir. Fitia ne supportai plus cela. Quel diable! était-ce ? il n'avait aucune once de sentiment. Son regard était effacé.
- Vous n'avez pas de cœur? s'exclamait-elle
... silence. elle poursuivit
- A cet instant, je vous déteste de toutes mes forces.
il leva sa tête, qu'il avait enfuit dans la partie la plus intime de son corps. Ce sourire au coin de la joue apparut. et là, il se mit à lécher sa paroi, puis pénétra ses deux doigts dans son vagin en éguisant sa vulve.
Fitia poussa un gris violent qui fit trembler le lit sur lequel tous les deux s'étaient aventuriers pour un tourbillon sauvage.
il se lécha les lèvres et lui dit: ' passons au second rond' . " je ne veux pas' .
S'était-elle exclamée
il la retourna malgré son refus, et la pénétra de la plus sauvage des façons. rien n'était romantique, tout était agressif. rien n'était passionnant, tout était brutal....
Pendant 24h de temps, Eldom ne s'était rassasié, son appétit était à son apogée., elle était sa marionnette qui se faisait manipuler de part et d'autre. L' odeur de cigare et de wisky en pestait sur lui a tel point qu'il se satisfait en l' embrassant . Son baisser la tourbillonnait.
- Dorénavant, tu es devenue ma femme et , tu devrais te résoudre à penser à moi. Toutefois, nous ne serons jamais un couple! Jamais ensemble ! Résouds-toi a cette idylle.
Sa posture arrogante, perturbée Fitia lorsqu' elle se réveilla. Assis pas loin d'elle sur un canapé en cuire. tenant à sa main un verre de wisky et un cirage. Ce mafieux laissait un dégoût amer à Fitia.
- Peu importe votre ingratitude envers moi. Sachez juste cher monsieur ! Vous aurez à dire tous vos balivernes. Quand-t- à moi. Elle marqua un arrêt.
des larmes jaillissaient, d'un trait maladroit elles les essuyèrent en l'observant.
- Je ne vous aime pas! (avec un regard effacé). Vous êtes la pire chose qui me soit arrivée ! conclua- elle
Eldom n'appréciait pas cet arrogance. elle le tenait tête, ça le déconcentré à tel point qu'il jeta son regard de tuer sur elle.
- Méfiez vous ! je tue à petit feu! vous aurez juste vos yeux pour sangloter. Menaçait-il
Malgré ! tout, elle le dévisageait mystérieusement.
- vos menaces ne me font ni chaud, ni froid! Sachez le! Cher Mafieux! Faites ce dont vous voulez, débarrassez vous de moi. Violenté- moi ! A mes yeux, vous n'êtes qu'un minable et pitoyable personnage.. lui lança- elle sans réticence de sa part .
Jamais, une femme ne lui avait tenu de tels propos.
- Je sens que je vais prendre du plaisir avec vous?
Néanmoins les propos de cette jeune femme lui avait marqué.
il se leva de là. l'observait attentivement.
et s'exclama : 'cette case dorée sera votre tombeau ' .! Et tourna le dos...
Seul l'odeur de cigare et wisky marqua son territoire après qu'il eut gagné le seuil de la porte.
bam! craque! craque!
Il venait de l'enfermer à l'intérieur.
N'ayant aucune alternative d'évasion en-tête. Malgré cela, elle pensait se soucier plus pour ses enfants, que pour elle-même. elle fit les cents pas. s'interrogeait. Voulant juste avoir les nouvelles de ses bébés.
Ses paupières étaient lourdes, Fitia n'avait pas pris un bain depuis deux jours de captivité. Elle ne voulait rien avaler. Elle ne voulais pas l'aimer, car elle en aimait déjà quelqu'un. il ne le voulais même pas. Peu import les circonstances. Tout de coup. Eldom pénétra un fois de plus sans son consentement. Tout -en - la dévisagent.
- Et maintenant craignez-moi! Je suis votre pire cauchemar !
elle, l'ignorait !
- ....
- je vous parle ! Regardez moi! Cet un ordre! l' ordonna- il
Mais, rien, Fitia refusa de l'obeir
-....
il se rapprocha possessif, saisit son menton et lui offrir un baisser sauvage et mesquin qui la fit perdre la tête.
- Votre virilité a-t-il été prouvée ? Vous,
vous êtes senti dominant à près ceci?
- Vous serez domptée dans un jour. Lui promit-il
- .....( Elle soupira juste)
Il referma la porte derrière lui. La colère de Eldom s'enflamma de plus en plus contre Fitia.
- Puisque cette femme transgresse mes ordonnances, et qu'elle ne cesse de me tenir tête. Désormais je serai sans pitié!
Debout près de sa fenêtre , l'obscurité venait de tomber. Elle n'avait que, pour seul accoutrement des sous-vêtement maron. Une fois de plus, il entra et la trouva placé là. Comme- si, elle ne s'était pas rendu compte de son arrivée. il s'approcha derrière et la saisissant par la taille, un souffle la gagna aux extrémités, elle était troublée par son souffle et ses odeurs corporelles . Une odeur de cigare et de wisky l'embaumaient. Le touché de Eldom la rendait vulnérable et déconcentré. Il l'attrapa et conduisit ses mains sur sa poitrine, l'autre main eu raison de son vagin. Il retourna sa tête et gagna sa bouche, son baisser était torride, irréfléchi, incontrôlable et insultant.
Rien ne pouvait plus contrôler Eldom.
Boum! boum! les battement de son cœur raisonnait, au point ou, il s'en rurgissait.
- Quel mesquinerie ! Ne me dis pas que tu sois amoureuse. Enlève - moi ça de tes pensées. l'imposeait-il
- Tu débites des conneries à longueur de temps. Etre et vouloir sont deux contextes différents.
Cette réponse ne le satisfaisait pas. Une fois de trot . il la prit violemment . il la plia en deux et enfonça sa queue plus profondément dans elle. Au point ou, elle sentit toutes les forces l'abandonnées. Cet homme sadique n'avait aucune humanité en soi. Il ne se souciait même pas de son droit de maternité.
Quand ils eurent achevé sa partie de jambe, avec son souffre douleur. Eldom la délaissa. Fitia resta là, immobile et pensive. Que lui voulait-elle ? Votre manière d'agir envers moi restera toujours ainsi? s'interrogeait-elle
Ses paupières devinrent lourdes, le sommeil avait fini par avoir raison d'elle.
Dans son bureau, les hommes de Eldom lui dirent," monsieur, nous avons enquêtes sur votre femme.."
Il s'emportait contre ses hommes à près qu'ils eurent considérer Fitia comme étant sa femme.
Se levant nerveusement, il leur dit:
' aimez vous la vie ? Ou souhaitez vous rejoindre l'haut- de -là ?
ils ne répondirent guère, le tempérament de Eldom était à son paroxysme. Et, ils se tinrent immobiles chacun à sa place évitant son regard noirceur. Les hommes alors s'agitaient .
- Qu'avez-vous trouvé ? s'esquieçait- il
- Écoutez- nous! Maitre , nous avons
découvert que tout ce dont la dame disait s'avérait véridique.