Chapter 1 : Raya
Il reste a peu près 2h de vol, je compte bien le rentabilisé en dormant un petit peu.
Pendant les 2h qui était censé est pour me reposer, je me réveillais plus d'une dizaine de fois.
— Bonjour nous arrivons à destination de aéroport de Milan.
Donc tout se qui s'est passé dernièrement était pas un rêve pour me torturer.
Je sors de avions, je vois une femme fatiguée me ressemblant, elle tient une petite pancarte marquée : Raya
— Raya, dit-elle me fessant signe de la main
Je m'avance vers elle et la salut.
— Bonjour Maria.
— Oh !
— Quoi ?
— Rien, c'est juste que tu as grandi.
— Nan ! Tu savais pas que en dix ans ont change ?
— Raya, je suis désolée si j'ai pas toujours été une bonne mère et que je n'ai pas toujours été présente, mais ce n'est ni l'endroit ni le moment.
— C'est pas, pas toujours c'est jamais, siffle-je.
Je me retourne et vais chercher mes valises.
— Raya ? Attend-moi.
— Écoute je suis fatiguée, ont peut rentrer à ta maison.
— Pourquoi tu a demandé à venir chez moi ?
Je dois dire la vérité mais sa sera comme l'accepter, ça me fais trop mal.
— Je me suis disputé avec papa et il m'a viré de la maison.
— Ton père a fait ça ?
— Oui, on était très énervé donc le ton est vite monté.
Putain crois mon excuse.
— J'appelle ton père demain, tu resteras combien de temps ?
— Jusqu'à la fin de l'année.
— Oh, d'accord.
Nous discutons sur le chemin pour aller à la voiture .
— Tu vie où ?
— Dans un manoir.
Des réponses courte et froide, mais elle vie dans un manoir !
— Dans un manoir !
— Oui Raya, ne crie pas comme-ça.
Les yeux écarquillés je répète : Dans un putain de manoir.
— Raya si je vie dans un manoir c'est aussi parce que j'y travaille.
Elle parle avec nonchalance, indifférence et sa m'énerve.
— Tu travailles pour qui ?
— Tu n'as pas besoin de le savoir.
— Donc je vais vivre au sein d'une maison alors que je ne connais pas son propriétaire !
— Raya si tu viens vivre avec moi tu apprendras a ne pas posé trop de questions.
Son ton est sévère mais j'ai l'impression que c'est pour me protéger, cependant je sais me protéger et se n'est pas grâce à elle.
— Une fois qu'on y sera tu rasse les murs, tu ne l'approche pas.
— Ne pas approcher qui ?
— Tu ne t'approche de personnes, compris ?
— Compris.
Par la suite on ne dialogue plus, quelques regarde sont jetté, mais au bout d'un moment j'abandonne et porte mon attention sur les paysages de Milan c'est un peu différent de New York, la où je vivais avec mon père. Pourquoi sa arrive a moi, a ma famille. A cause de ses conard je suis obligé de déménager chez ma mère. A quitté ma ville, mes amis, j'ai perdu toute ma vie. Je lève la tête et remarque une allée avec en un porta couleur or derrière celui-ci un manoir époustouflant. Je en crois pas mes yeux.
— Ne soit pas étonné, puisse que tu vas vivre ici maintenant.
— Putain, laisse moi être étonné, merde.
— Raya pas de gros mot !
— Mais a qui est cette maison ?
— J'ai dis quoi !
— Ne pas posé de questions