Prologue
Ce jour-là, Isla regarde par la fenêtre de son bureau à Melbourne, en Australie. Elle est travailleuse humanitaire pour une organisation internationale qui aide les gens du monde entier à améliorer leur vie.
Cela fait 5 ans qu'elle a parcouru le monde pour aider les gens à avoir une vie meilleure.
Assise sur une chaise, elle regarde à l'extérieur du bureau et pense à sa famille
Elle a déménagé à Melbourne il y a de nombreuses années et depuis lors, elle a vu de nombreux changements distinctifs dans le pays.
Avec l'émergence des émeutes raciales dans le pays, elle a regardé la ville de Melbourne sous un angle différent, le paysage de la ville a beaucoup changé depuis.
Même après huit ans, elle est toujours fière de Melbourne et voit la ville s'améliorer chaque jour.
elle n'oublie jamais de penser aussi aux personnes vers qui elle se rend lors de ses différentes visites
Elle est reconnaissante à ses amis de l'avoir aidée à traverser toutes les difficultés du déménagement à Melbourne et elle prévoit de rendre la pareille en aidant plus de gens.
Isla est une femme qu'on ne voit pas mais qui peut apporter beaucoup de bonheur à son entourage et à ceux qui la connaissent bien.
Elle est très gentille et très sympathique, elle est très sensible et elle prend constamment soin de tous ceux qu'elle rencontre en cours de route.
Elle aime beaucoup aider les gens sans rien demander en retour.
Elle a un beau sourire et elle a probablement un grand sens de l'humour, elle aime les faire rire et les rendre heureux.
Ses yeux peuvent être très expressifs et parfois ils sont comme des puits profonds qui vous emmènent dans leurs intensité
Après s'être remise au travail et terminée son rapport de la journée qu'elle a envoyé à sa patronne, elle ferme son ordinateur, contente d'elle cette journée avait été très fructueuse.
En quittant le bureau, elle s'aperçut qu'elle était la dernière personne à quitter l'immeuble, elle regarda sa montre indiquant ses dix-huit heure
Il était 20 heures lorsqu'elle a franchi la porte de sa maison de Newquay, un joli petit cottage victorien de trois chambres qu'elle a acheté il y a deux ans après avoir économisé les quatre premières années où elle était à Melbourne.
L'endroit était très chaleureux, elle a pu se renseigner sur la maison, elle a découvert que la maison avait été construite par un certain boulanger en 1883 dans le cadre d'un développement sur un ancien site d'usine à gaz de Newquay.
Même lorsqu'elle a été rénovée, la maison a conservé des caractéristiques d'origine telles que des fenêtres à guillotine, des cheminées en fonte et des planchers en bois.
Elle allume la lumière et entre dans sa chambre spacieuse, les murs sont peints en blanc et le sol en bois est recouvert d'un tapis bleu foncé avec des tapis noirs partout sur le sol comme un modèle courant dans un champ ouvert pour empêcher un troupeau de vaches d'approcher avec des défenses prêtes à tuer pour empiéter sur leur propriété.
Elle enleva ses talons et s'assit sur son fauteuil, il y avait un oreiller qui sentait le pain, une couverture moelleuse qui ressemblait à un nuage pour la coucher et une couverture rose qui était aussi douce que du coton.
Elle posa son sac sur la table en bois à côté du fauteuil.
Puis, après une jambe endolorie, elle a décidé d'aller dans sa cuisine, pour préparer un délicieux repas
Mais que va-t-elle manger ce soir ?
Elle a pensé à un plat, mais n'a pas pu se décider entre les pâtes bolognaises et autre chose
On aurait dit qu'elle se donnait une excuse pour manger du fromage, alors elle a décidé de prendre des pâtes simples avec du brocoli et du fromage, un dîner simple et rapide.
Elle se met immédiatement au fourneau.
Après avoir fini de manger, elle est allée dans sa salle de bain pour prendre une douche.
Un bon bain chaud était le bienvenue après une journée épuisante, mais bénéfique pour elle et de ce fait pour l'ONG.
Elle remplit sa baignoire, et une fois à l'intérieur, elle se sentait si bien d'être dans cette eau chaude.
Après le bain, elle enfila son pyjama rouge, et retourna dans son salon pour s'asseoir sur le fauteuil, recouvert d'une couverture qui s'y trouvait.
Elle allume sa télévision et commence à chercher une chaine à regarder quand elle tombe sur les infos du soir qui parle de la fondation Good life qu'elle connaît et qui aide .
Soudain, elle vit en bas de l'écran une fusion entre les deux associations caritatives Bellevie's Good Life tandis qu'elle lisait Bellevie.
Elle pensait l'avoir mal lu et a décidé de le relire, mais c'est vraiment elle et il s'agit vraiment de fusionner ces deux organismes.
Soudainement, elle aperçue en bas de l'écran une inscription expliquant la fusion entre deux organismes de bienfaisance, Good life et Bellevie.
Elle crut ne pas avoir bien lu et décida donc de se relire mais il été effectivement question de la fusion de ces deux organismes.
Émerveillée par la beauté de l'homme à l'écran, Isla a pensé que l'homme devait être aimé par les femmes.
L'homme nommé Kyle Kessel portait un costume noir ajusté.
Le vêtement doit être fait sur mesure pour l'homme, il épouse parfaitement sa morphologie et sa taille.
La veste est parfaitement cousue autour des épaules et les manches tombent pour s'adapter
Le pantalon s'adapte parfaitement autour de sa taille et s'assoit dans une ligne parfaite jusqu'au bas de sa chaussure, en daim noir.
Mais ce qui frappa Isla, ce furent les yeux de l'homme, d'un bleu profond comme la mer.
Il a aussi des pommettes saillantes.
Elle n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi beau.
Il a l'air d'avoir environ 30 ans, son nez est haut et droit avec une pointe légèrement inclinée.
Et quand il souriait, cela le rendait encore plus beau.
Soudain, Isla secoua la tête, un homme comme ce Kessel se moquait bien d'une femme comme elle.
"Je ne suis pas intéressante," dit-elle, soupirant et passant une main dans ses cheveux.
Plus elle regardait cet homme, plus elle se sentait idiote.
En vingt-neuf ans de vie, elle n'avait jamais trouvé l'amour, peut-être que le bon n'était pas encore arrivé, peut-être que c'était elle qui avait un problème ou simplement que les hommes ne s'intéressaient pas à une femme rousse aux yeux verts avec une poitrine et des hanches généreuses.
- Il faut vraiment que j'arrête de penser à des choses aussi futiles, se dit-elle en éteignant la télévision pour aller se coucher.
